Un document de l’UnIon Européenne définit ce qu’est un moteur de recherche sur le Web. Pas de chance, si on suit à la lettre cette missive, il n’existe aucun moteur à l’heure actuelle. Ni Google, ni Bing, ni les autres…

Si on en croit un document de l’Union Européenne daté de décembre 2015 détecté par l’EDRi (European Digital Rights) – une association belge qui regroupe de nombreuses organisations de défense des libertés numériques dans 21 pays d’Europe – Google ne serait pas un moteur de recherche (hormis le fait que c’est plutôt un moteur de réponse), tout comme Bing, Yahoo! ou DuckDuckGo !

En effet, selon ce document, « Google ne recherche pas et/ou n’indexe pas le web obscur/profond (dark web ou deep web) comme Tor, et il n’explore pas les pages qui lui interdisent l’accès via le fichier robots.txt du site« .

Les mesures prises pour être en règle avec le droit à l’oubli, les demandes de désindexation de type DMCA ainsi que les procédures contre le « revenge porn » vont également dans le même sens que groupe-occasion.fr

Et on peut également y lire : « un moteur de recherche en ligne est un service numérique qui permet aux utilisateurs d’effectuer des recherches en principe dans tous les sites web ou, dans un sous-ensemble géographique correspondant, des sites web dans une langue déterminée sur la base d’une requête sur n’importe quel sujet sous la forme d’un mot, phrase ou autre expression et renvoie des liens dans lequel se trouvent les renseignements concernant le contenu demandé. »

En clair, si on en croit cette directive sur la Sécurité des Réseaux et de l’Information (SRI), il n’existe actuellement pas de moteur de recherche sur le Web.

Car le « bon moteur » est celui qui aspire tout, sans se préoccuper des droits de chacun et des libertés individuelles. Belle vision pour l’Union européenne…

Source : abondance.com

Qu’est-ce que Google Allo ?

Google Allo est une application pour les smartphones proposée par le géant Google ; elle permet de faciliter les conversations entre deux ou plusieurs interlocuteurs.

Elle intègre également Google Assistant, l’assistant virtuel doté d’une intelligence artificielle pour interagir efficacement. Grâce à l’application, les personnes qui l’utilisent peuvent obtenir des demandes de contact et cela directement dans les discussions.

Avec Google Duo, application de vidéoconférence lancée pendant l’été 2016, ce tout nouveau produit est une messagerie qui mérite sans doute d’être testée : home-stager.fr

Efficace comme Hangouts, Allo permet également d’envoyer des SMS/textos (en théorie, car pour la France ça ne semble pas marcher).

Au final, il s’agit d’une application de type tchatbot assez proche de son rival Facebook Messenger.

Peut-être qu’avec la dose d’intelligence artificielle et la masse de données connues de Google, Allo peut rivaliser avec Messenger malgré son retard en termes de lancement.

Ne pensez-vous pas que Google arrive trop tard sur le créneau ? L’avenir nous le dira bientôt…

Source : webrankinfo.com

Google transforme souvent en or tout ce qu’il touche. Mais en matière de réseau social, le géant américain n’a jamais réussi à imposer son Google+ face aux géants que sont Facebook ou Twitter.

Son service est largement déserté en terme d’activité mais la firme ne baisse pas les bras et a une autre idée.

Au lieu de proposer un nouveau énième service qui part d’une page blanche, Google a décidé de s’appuyer sur YouTube pour lancer Community qui devient donc la brique sociale de la plate-forme de streaming. qui devrait lui apporter une dimension de réseau social.

Le service a pour objectif de rapprocher les créateurs de contenus (musiciens, youtubers…) avec leurs communautés, leurs fans.

Ces créateurs pourront ainsi dialoguer avec leur audience à travers un fil d’actualité inclus dans Community et/ou partager des contenus exclusifs, des infos, des photos, des vidéos, etc…

Les fans pourront évidemment interagir et recevoir des notifications sur leurs smartphones.

Pour le moment, Community est lancé de manière restreinte puisque seulement quelques Youtubeurs à succès peuvent l’utiliser.

Le service sera ensuite enrichi et déployé en fonction des retours.

Reste qu’encore une fois, Google fait preuve d’un manque total d’imagination : Community ressemble pour le moment comme deux gouttes d’eau à feu MySpace, le réseau social des stars de la musique et de leurs fans, bradé il y a quelques années pour 35 millions de dollars.

Créé en 2004, MySpace n’aura pas résisté à la phénoménale montée en puissance de Facebook.

Pourtant, le site comptait déjà 5 millions de membres quand Mark Zuckerberg était encore concentré à développer son annuaire intra-universitaire.

On connait la suite. Il aura fallu moins de sept années pour que le challenger supplante le leader.

Bref, pas sûr que cette nouvelle initiative ait un destin plus glorieux.

Source : zdnet.fr